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Le week end dernier, WANKR MAGAZINE était présent pour la première édition du festival Lollapalooza en France. On vous en fait un petit retour.

[dropcap size=big]A[/dropcap]près le Chili, l’Argentine et le Brésil, c’est à Paris que le festival Américain LOLLAPALOOZA s’est installé pour deux jours à Paris, donnant à l’hippodrome de Longchamp un air d’ « auberge Espagnol » avec ses 110 000 personnes durant le week end dont plus de la moitié était des étrangers.
Avec son pass deux jours à 150 balles, le Lollapalooza est le festival le plus cher de France mais la programmation et la durée des sets de certaines têtes d’affiche (jusqu’à 1H45 pour les Red Hot) n’ont pu que satisfaire les festivaliers.
Une premiere edition parisienne avec une programmation qui « envoyait franchement du lourd » … Sur la scène electro du Perry’s Stage, le public s’est déchainé aux beat de Marshello, Don diablo, Alan Walker ou encore Martin Solveig. Dj Snake fermera le festival avec les flammes et confettis de rigueur.

Sur les deux scenes du Main Stage, ce sont succédés des grands de la pop tel que the Weeknd, Lana Del Ray. Imagine Dragons s’est vu reprendre “Thunder” par le public et n’a pas manqué de transmettre un message de paix et d’unité. The Roots, a mis le Hip-hop à l’honneur porté par des festivaliers connaisseurs.
A l’affiche coté rock, Liam Gallagher malgré la pluie et des soucis de son (qu’il n’a pas hésité à faire remarquer hors micro), nous a interprété un « Wonderwall » magique en cœur avec un public à l’unisson.
Walk Off The Earth avec une chanteuse (Sarah Blackwood) enceinte n’ont pas manqué d’ambiancer le public tout comme Editors. Les Pixies ont clôturé leur show avec l’incontournable  “Where is my mind” et les Red Hot Chili Peppers ont assuré à la perfection le finish de ce « Lolla Parisien » avec un public survolté malgré une pluie battante.

A l’Alternative Stage, on pouvait écouter Alt J avec une mise en scene tout en lumière ou encore La Femme, Tom Odell, Tess
Le public avait répondu present pour le rap collector des « Bad boys de Marseille », IAM en pleine forme a fait sauter les mains en l’air les festivaliers du « Lolla ».

Une première edition plutôt réussie malgré des petits problèmes d’organisation, tel que les toilettes ou il y’avait le samedi plus d’une heure d’attente… et plus personnellement la hauteur des scènes quand on est une photographe d’ 1m60… Les scenes à 2m c’est trop haut !

A l’année prochaine pour le Lolla 2… En attendant, un petit retour photo.


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